samedi 30 août 2014

The best of epic music 2012

Le son qui accompagne mes longues heures de lecture et de gaming sur Diablo :)

Final Fantasy XIV a realm reborn sur PS3

J'ai longuement hésité à poster sur ce meuporg* car je n'ai pas envie de partager ici des choses que je n'ai pas apprécié plus que ça.
Après avoir attendu un jour et une nuit pour enfin accéder au jeu, j'ai ensuite du créer un nouveau compte car il ne trouvait déjà plus le premier, gg.


Les races : soupir... surfait ?
Les classes : système intéressant. Vous choisissez une classe de départ, mais une fois dans le monde vous pouvez monter toutes celles que vous désirez en reprenant les quêtes au niveau 1 pour la classe choisie. Vous pouvez ainsi builder un pugiliste élémentaliste archer si ça vous chante.
Métiers : pas testé, il semble que ce soit le même principe que pour les classes.


Prise en main : c'est là que ça se complique. 
Si les commandes de base sont rapidement maîtrisées (se diriger, prendre une quête, ouvrir son inventaire etc...), en revanche on se retrouve souvent confronté à un didacticiel qui ne répond pas à toutes nos questions (combien d'heures ai-je passé à chercher comment on affichait ce fucking curseur qui permet d'ôter les buff et de dézoomer la minimap ?), d'autant que les pages de tutoriel s'ajoutent d'elles mêmes vous empêchant de consulter la solution à un problème auquel la machine juge que vous n'avez pas encore été confronté. De même pour les textes de quêtes, long mais inutiles quand vous cherchez quelque chose de précis. 


Venons-en à la map, déjà le bouton "Localiser sur la map" depuis le journal de quête ne fonctionne pas à tous les coups, ensuite et surtout, le découpage est à s'arracher les cheveux. Dézoomez un peu pour voir, ah oui, y'a plus rien et quand vous bougez le curseur reste fixe, pratique n'est-il pas ? :) Par ailleurs les icônes de la minimap défient toute logique : celui pour votre quête en cours est de la couleur du fond de la map, alors que celui pour l'alea le plus proche et très voyants, au cas où vous auriez rien d'autre à faire que d'aller vous faire poun puisque de toute façon vous êtes déjà pommé. 

Car oui, ces fucking aléas popent en boucle à plusieurs endroits de la map en simultané. En gros vous êtes gentiment parti mettre la mort à trois pauvre coccinelles parce que c'est le monsieur qui l'a demandé, et là, paf vous avez trente mobs qui apparaissent et vous aggro parce que c'est l'aléa qui décide où il se pose. 

Venons-en donc à la problématique de la mort : alors là, pas de jaloux, le rez se fait à la ville de départ, en toute simplicité, même si vous êtes niveau vingt et que vous avez tracé la route pour voir si l'herbe était plus verte ailleurs (à tord). Pas besoin d'aller récupérer sa dépouille, vous me direz, c'est pratique, sauf que du coup on a tendance à laisser tomber ce qu'on faisait, la flemme, pis on a mal aux pieds ^^

Pour finir l'objet ultime de ma déception : le paysage. Ben oui, moi je sors de Final Fantasy XIII, j'ai des restes de cyborg encore collés derrière les oreilles, vous me dites que vous allez vous la jouer à l'ancienne moi j'attends des panoramas à couper le souffle quoi ! Alors, d'accord, j'ai testé que les provinces de Talanan et Gridania et j'ai pas dépassé le niveau vingt. Mais bon quand même faites un effort quoi ! Copier coller un décors et le balancer sur le Talanan occidental, oriental, septentrional et méridional, et se la jouer idem sur Gridania en remplaçant le sable par des arbres, lourd.


Bon, j'ai un aveu à vous faire, je me suis passé WoW en intraveineuse pendant sept ans, j'ai tenu bon jusqu'à ce que le dernier de la population des vrais gamers ait delete son compte et confrontée à la fatalité de ne plus pouvoir faire de raids, de me coltiner des ninjas en instances et des Kevin en bg, j'ai du à mon tour réapprendre à vivre en tentant de faire mon deuil d'une entité qui n'était pas morte, mais qui m'avait mortellement trahie. (Heureusement, grand dieu heureusement mon ptit Blibli que t'as encore Diablo, mais fais bien attention quand même parce que t'as une nette tendance autodestructrice, moi je serais toi, une fois mon dessin terminé je n'y toucherais plus ...)


Bref, revenons à nos chokobos, j'ai tenté de régler ma télé, ma console, le jeu, rien à faire l'image reste très scintillante donnant une impression bas de gamme du jeu. Il fait nuit pendant deux heures avec un intervalle de jour d'une heure, moi ça me gave, mais je salue le génie qui s'est dit que plutôt que de faire de beaux décors on allait éteindre la lumière, profites-en pour faire une sieste mon copain, t'as bien bossé tu l'as méritée. L'ensemble dénote d'un manque évident de subtilité et pour finir, si le système de multi-croix pour la barre d'action est bien trouvé (un meuporg sur console, faut reconnaître le challenge), je me suis fatiguée toute seule à être toujours sur la mauvaise barre au mauvais moment. La goutte.

Pour finir sur une bonne note, allez, le bestiaire. Ben voilà, c'est con mais pour une fois là on sait où on va. Alors d'accord, c'est du farming de mobs qui se rajoute encore à celui des quêtes (qui soit dit en passant sont assez courtes et variées), mais quelque part ce bouquin listant les points clés d'un jeu de piste c'est rassurant dans un monde où l'on est régulièrement un peu perdu sans quête à faire (les mandats étant les mêmes à refaire une fois rendus). Et le fait de courir les maps à la recherche des dits-mobs aide à se repérer car vous ne trouvez les noms précis qu'à un endroit d'une map.

M'enfin, je re-testerais peut-être un jour. Pour l'instant, je veux même pas voir le gameplay hl, aucun intérêt de se borner à uper un perso dans un monde où l'on doit se forcer à rester.

* meuporg : entité mi-vache, mi-cochon, et re mi-vache derrière

Cycle de Pendragon II

"Merlin" est le deuxième tome du Cycle de Pendragon de Stephen Lawhead (pour lire mon avis sur le tome I voir : "Cycle de Pendragon I").



Je dirais que pour l'instant Merlin est le personnage qui se rapproche le plus de la façon dont je l'aurais imaginé moi-même. Dans ce tome c'est donc Merlin qui parle à la première personne et raconte le cours de son existence, reprenant le fil de l'histoire du tome I. Ainsi nous retrouvons Charis, sa mère, et la mémoire de son père, Taliesin, ainsi que tous les autres protagonistes auxquels nous nous étions attachés.
Il est agréable de suivre Merlin dans toutes ses aventures et de lui laisser expliquer ses émotions car c'est un personnage sur lequel repose généralement un profond mystère. Ici, nous vivons les expériences qui l'ont construit et lui découvrons une profonde humilité. Mais l'enveloppe très humaine dans laquelle Stephen Lawhead le dépeint ne retire rien à l'aura magique du personnage.
Pour les moins, je ne suis pas fan des nombreux psaumes et autres cantiques au Dieu d'Amour, on comprend le trip mais c'est un peu long.

Love so life

Shiharu vit dans un orphelinat et travaille après les cours dans une crèche pour devenir puéricultrice. Elle y rencontre Seiji Mastunaga, présentateur télé de vingt-cinq ans, qui lui propose de garder tous les soirs à domicile les jumeaux de son frère dont il a la garde. A seize ans, Shiharu va vivre pour la première fois l'expérience de la vie de famille.

Il s'agit évidemment d'un shôjo, donc on le lit quand on a envie de se mettre dans une boîte en coton :)
La traduction est correcte, le sens de lecture est clair, le dessin régulier et agréable. 
J'aurais aimé moins de tics verbaux chez les jumeaux, les zozotages c'est lourd à la longue.



nb : Je n'ai lu que le tome I pour l'instant, je ne parle pas des autres ici.

dimanche 24 août 2014

Poupi poupi poupipou


Oui on est dimanche soir, Non ce n'est pas une raison pour pleurer
Quelques pas de danse de Dewey pour se remonter le moral <3

jeudi 14 août 2014

Wilfred



Dans la même veine que Kenny Powers, Paul, ou Ted, donc légèrement cracra, Wilfred est le chien de la voisine. La première fois où celle-ci vient demander à Elijah Wood de garder son chien, le petit ange du Seigneur des Anneaux vient de gober tout un tube de médocs et sa première hallucination est de voir Wilfred comme un humain portant un costume de chien, qui parle. Il pense que c'est un effet secondaire et que cela va passer. Oui mais, ça ne passe pas ... 


Il devient copain comme cochon avec l'animal, du je t'aime moi non plus dont vous pourrez vous rassasier pendant quatre saisons ;)
Autant prévenir direct, c'est pas une série pour les jeunes filles, vous n'avez pas envie de voir ça xD
Les autres, have fun !


mardi 12 août 2014

Overlord I et II

 ... quand tout à coup ! Un large sourire déchira son visage en deux et la lumière fut !
Bah oui ! Je suis allée chercher mon Rayman Legends et je suis tombée tout à fait par hasard sur ce jeu que j'avais sur XBOX prêté et pas rendu et dont je n'arrivais plus à retrouver le nom depuis des années !!!
Merci chère petite petite petite planète ! Cette fois, je le prêterai ni le revendrai pas ! Promis !
Par contre, drôle de surprise en lançant le jeu, le boîtier est celui de Overlord I mais le cd est celui d'Overlord II ... dtc le vendeur !


Donc à l'époque j'avais le I, où l'on incarne un roi death knight qui pète littéralement les plombs et se fait aider d'une horde de larbins (genre golum) pour tout casser dans son royaume. Ouaaaaai ! Le premier opus se déroule entre les prairies de La Conté pour rester dans la comparaison et dans le désert (de souvenir), tandis que le second se prend un gros kiff à massacrer du nain pendant le solstice d'hiver (ou voile d'hiver selon votre religion) et de l'elfe de nuit dans les bois et il faut dire qu'ils nous l'ont bien tartinée la race elfique, on n'a aucun scrupule à le faire taire à coups de masse <3
Dans les deux cas, on est rapidement addict aux expressions des larbins ( Dadaaaaaa ! Oui sire ! Pour vous sire ! les rouges ! les verts ! les jaunes ! tous, tous choisis !) même si, ivre de sommeil après vingt-sept heures de jeu les deux hémisphères de votre cerveau se disputent pour savoir si vous allez frapper l'elfe ou le larbin.


C'est un jeu qui demande un peu de réflexion et d'adresse. Vous contrôlez plusieurs hordes de larbins avec des capacités bien distinctes et vous devez parfois les diriger à distance pour mener un raid là où vous n'avez pas accès avec votre ... grosse armure. Et puis il faut chercher, activer un truc par ci, redescendre passer par là, forger vos armes et entretenir votre maîtresse...
Pour l'instant je préfère encore le I, pardon hein, j'aime pas me la jouer WoW Vanilla à tous bouts de champs, juste une question de simplicité d'univers et de gaming.


Je campe sur mes positions, Overlord est un défouloir hors pairs. 
Dans le II le didacticiel se contente d'un léger rappel donc pour une première visite cela peut être éprouvant et dernière remarque avant de coudre ma bouche : c'est moi ou on tourne quand même beaucoup en rond pour trouver les issues ??? 
Allez, have fun !!!







Divergente



Bonne surprise !
Je l'ai sélectionné en me disant "bon, on va jeter un œil mais pas convaincue de le voir en entier..."
Finalement, bien que ce soit définitivement un film pour éternels ados en recherche identitaire et une fois de plus basé sur un canevas post-apocalyptique, j'ai été tenue en haleine sur la première moitié et je dois reconnaître que le scénario est intéressant.
Seul bémol sur la fin, je me demande toujours pourquoi mettre un si gros budget pour tourner un film et ne pas résister à la tentation de finir en feu d'artifice, voire en comic trip, au lieu de jouer la subtilité et de rester malins jusqu'au bout. Y'aurait-il plus de "fraternels et d'audacieux" que d' "érudits" aux guichets des cinémas ? possible... dommage... Je reste convaincue que faire preuve d'adresse jusqu'à la fin donne un goût moral indélébile ; l'industrie du blockbuster (je suis très généreuse là) en décide autrement.
Néanmoins, je le garde car le concept me plait car la notion de cultiver les qualités me plaît, mon côté vieille chouette ; à l'image des fioles dans Ni No Kuni où les gens sont méchants mais c'est parce qu'on leur a pompé leur dose d'amour, de tempérance, de foi, de courage ...


Ah oui, pour l'histoire : dans une société parallèle à la notre, la ville de Chicago a réorganisé la société en cinq factions. Les sincères, les érudits, les audacieux, les altruistes et les fraternels. On grandit dans une famille où la faction des parents est vécue comme une religion avec ses dogmes et sa foi, jusqu'au jour où chaque adolescent doit passer un test à base de sérum vérité suite auquel ses prédispositions sont affirmées, puis le jeune décide de lui-même au cours d'une cérémonie vers quelle faction le guide son cœur. Une fois son choix réalisé, il ne pourra plus revenir en arrière mais surtout plus voir sa famille (sectaire ? à peine...) 






Nous suivons le destin de Béatrice, qui a la capacité peu commune d'être divergente, c'est à dire d'appartenir naturellement à plusieurs factions. Dans un monde où tout est sous contrôle, elle dérange.


dimanche 10 août 2014

Diablo III sur PS3

J'avais déjà joué à Diablo III sur pc donc pas de grande surprise hormis la navigation dans les menus qui a été adaptée et qui fonctionne très bien.
Dans l'ensemble je trouve la prise en main très intuitive et agréable, pas de bugs, je crois que je préfère Diablo sur console que sur pc tiens !
Si on m'avait laissé le choix j'aurais bien refait une fêticheuse, mais démo oblige, j'ai donc choisi le barbare et ce fut une expérience des plus ... tranchantes 8P Que du bonheur !!!


Petite màj post-test de Reaper of Souls :
J'ai donc créé une Croisée, fallait tester et assouvir mes besoins de bourrinage intempestif xD
Pas déçue du voyage puisque j'ai roulé sur les cinq actes en expert (en agréable compagnie qui plus est) puis terminé mon leveling en farmant les primes, mais c'est pas fini, sur Diablo c'est jamais fini (je ne suis même pas Parangon 10 pauvre de moi !)
Principe du jeu pour les noobettes like me : l'histoire se déroule en cinq actes et se fait assez rapidement même si vous commencez (disons qu'en un week-end vous avez tout clean). Ca, c'est quand vous commencez tranquille avec le niveau de difficulté "normal" pour voir. Ensuite vous pouvez recommencer le jeu autant de fois que vous le souhaitez en augmentant le niveau de difficulté. Classique oui, l'intérêt ici est que vous gardez votre ou vos personnage(s) et donc tout son stuff etc... et ainsi vous vous posez le challenge de voir jusqu'où vous pouvez aller avec votre nouveau stuff et ainsi de suite.
Ce n'est pas aussi rébarbatif que l'on pourrait se l'imaginer de prime abord car les maps se présentent à chaque fois sous des formes aléatoires, c'est à dire que même si vous recommencez dix fois la quête du cimetière oublié la map sera à chaque fois différente, les donjons placés de façon aléatoire et les mobs augmenteront en nombre, en puissance et en techniques selon les niveaux de difficulté. D'ailleurs vous reprenez toujours au moment de l'histoire de votre choix. Ça c'est pour le mode campagne.
Après pour farmer les xp vous pouvez passer en mode aventure où vous ferez des primes, c'est à dire des séries d'environ cinq quêtes sur un acte (encore une fois elles sont aléatoires), qui une fois rendues vous donneront de plus grosses récompenses, en plus du fait que durant les quêtes vous allez rencontrer beaucoup d'élites.
Les primes vous font gagner des clés, ces dernières vous permettant d'entrer dans les failles qui sont encore un autre type de quêtes.
C'est un jeu où atteindre le niveau maximal (70) n'est pas le but mais le commencement : vous devrez ensuite monter les niveaux de Parangon (il y en a des centaines) qui à chaque fois vous donneront des points de caractéristiques à placer comme vous le sentez.
Il y a trois artisans avec lesquels travailler et à faire uper (forgeron, joaillier et enchanteur).
Vous pouvez créer des personnages de toutes les classes et vous amuser à réaliser des hauts-faits.
Il y a des petites surprises : un niveau caché au royaume des poneys arc-en-ciel (et oui, le niveau des vaches n'existe plus, il faut vous le dire combien de fois ?), des gobelins qui vous ouvrent des tp vers le Pactole, un donjon magique où mon cher et tendre a eu l'honneur de se faire .... 20 millions de PO !...
J'aime beaucoup l'idée de ramasser des livres partout dans le jeu qui sont des bouts de l'histoire que l'on ne connaîtrait pas sinon et qui vous sont lus en voix off pendant que vous jouez, par contre j'aurais aimé que sur console on puisse les réécouter plus tard tout en jouant ce qui n'est pas possible car la lecture s'arrête quand on quitte l'interface d'archivage.
Et pour finir, j'ai tendance à bugger sur les sols, jetez-y un coup d’œil de temps en temps vous verrez ils se sont appliqués. De toute façon globalement les graphismes de ce jeu sont magnifiques, et je ne parle même pas des cinématiques surréalistes. *.*
D'ailleurs ne vous arrêtez pas au sentiment du donjon glauque car vous vous priveriez des maps automnales et hivernales, ainsi que des palais célestes dont la déco n'a rien de sanglante ! Quoi qu'il en soit, il y a un vrai kiff à se faire dans les bons vieux donjons en pierre, moi j'aime bien ce côté un peu labyrinthe ou vous défoncez tout sur votre passage pour bénéficier du bonus vitesse, gardez juste bien un oeil sur la map qui se dévoile au fur et à mesure de votre passage pour repérer si vous avez oublié des couloirs car c'est toujours celui que vous n'avez pas fait qui cache le niveau suivant du donjon ;)

Folklore sur PS3



Des graphismes fort réussis (quoique après être passée sur Rayman Legends, la qualité pourrait paraître médiocre), un monde féérico-britannique hyper sympa mais ... un gameplay vraiment tout pourri !
J'ai réessayé cinq fois, je suis pas arrivée à finir la démo :x
Je crois qu'à l'occasion je retenterai ma chance car le monde vaut le détour, mais pour l'instant je suis affreusement déçue :(
De plus les dialogues sont longs, bien que l'on puisse les accélérer - merci - , et pas toujours cohérents voire gavants (elle est où ma mère ? t'as vu ma mère ? je veux voir ma mère ! c'est au sujet de ma mère ?).


Rayman Legends sur PS3

Ça déchiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire !!!



Pur défouloir avec une qualité graphique absolument parfaite !
J'ai juste testé la démo pour l'instant donc découverte très limitée, mais je vais l'acheter sans hésiter.
Le niveau Castle Rock est EX-CEL-LENT !
Fan de ma ptite princesse barbare <3


vendredi 8 août 2014

Les Curiosités d'Elixir

Trop mignon !!!

Trio bagues : 60€
Trio bracelets : 60 €
Collier : 70 €

Summer of the 90's

Bon d'accord, j'arrive limite à la bourre ... mais c'est pas fini ! Summer of the 90's c'est tout les week-ends sur Arte (hd) jusqu'à fin août ;)
Par ici le bon vieux rock, l'électro qu'on appelait "techno" et les films d'époque !!!
Parce que les nineties, franchement, c'était le bon temps et oh que oui qu'on en veut encore ! Premier soubresaut de revival, ouf ! enfin ! Ok ça veut aussi dire qu'on vieillit, mais quand on a été ado dans ces années bénies, honnêtement, on ne vieillit jamais, non ? 
Pour l'instant niveau fringues, il faut le dire c'est encore les 80's qui mènent la danse, mais soyons encore un peu patients et nous verrons débarquer à nouveau les bons vieux baggys. Eh oui les enfants, avant les skaters c'était des vrais, ils avaient des futs qui s'approchaient plus du sarouel que ces horribles jeans leggings et de bonnes grosses Vans qui je peux vous le dire n'avaient rien à voir avec les espèces de tronches de Keds d'aujourd'hui et ça les empêchait pas de faire des figures de malades !
En attendant on a quand même Arte qui, de son intelligence supérieure ( <3 ), a eu l'idée de nous balancer un peu de bon son pour tout l'été, alors ré-ga-lons-nous !





mardi 5 août 2014

Marion Le Solliec la harpiste

Voilà de quoi se zenifier à la celtique, avec des reprises de titres qui ne manqueront pas de vous évoquer bien des souvenirs (Cranberries, hymne breton, Daft Punk, Le seigneur des anneaux, Skyrim, ...).
Marion Le Solliec vous amène en Bretagne le temps d'une balade de farfadets sur les cordes de sa harpe.
Enjoy !


Cycle de Pendragon I

Taliesin, de Stephen Lawhead, est un livre reprenant la légende d'Arthur en se plaçant en amont de toute l'histoire telle que nous la connaissons.
En effet, dans le premier tome il a pris le parti de faire débuter son récit en Atlantide où l'on suit Charis, jeune princesse de Kellios, avant que son île ne soit ravagée par le cataclysme. En alternance nous rencontrons Elphin, fils de roi breton et particulièrement malchanceux jusqu'à ce qu'il sauve Taliesin, alors bébé, des flots. Le destin suit son cours et peu à peu les fils de l’écheveau s'enlacent jusqu'à ce que les destins des peuples ne fassent plus qu'un. 
J'entends d'ici les fins gourmets de ce genre de lectures grogner que ce récit est ultra plan plan et que l'on s'ennuie à mourir. Personnellement je l'ai lu comme un conte, car nous y retrouvons la même simplicité. Il est vrai que l'on se retrouve régulièrement pris dans de longues descriptions de journées où tout va pour le mieux, le soleil brille, les gens travaillent ensemble de bon cœur et l'hydromel coule à flots. Cependant ce n'est que pour mieux nous faire regretter ces temps bénis lorsque le destin claque comme un orage d'été. Je ne me suis pas ennuyée une seconde, il se passe plein de chose, les héros partent sans cesse à l'aventure et l'on est transportés dans leurs joies comme dans leurs peines. Il est vrai qu'il y a très très peu de récits de guerres, et alors ? C'est un autre style, voilà tout !


lundi 4 août 2014

Sword Art Online

Yeah !!! La deuxième saison de SAO commence à être diffusée, je viens de regarder les cinq premiers épisodes et franchement ça déboîte !
On sort de l'univers fantasy pour se lancer dans un MMO de guns un peu plus punchy ça fait du bien ;)
Have fun !!!


ps : vraiment réussis les yeux de Sinon * . *


dimanche 3 août 2014

Terror in Tokyo

Anim en cours de diffusion, 4 épisodes disponibles à ce jour.


Sénario assez classique : deux ados élevés en batterie avec des nombres pour prénoms décident de réveiller le monde via des attentas terroristes. Nous les suivons eux, ainsi que les inspecteurs de police tentant de les démasquer grâce aux vidéos qu'ils postent sur YouTube, et une jeune fille un peu pommée qui passe de souffre-douleur à l'école à complice des terroristes malgré elle.


L'image est agréable, la bande originale n'est pas la pire que vous aurez entendue et l'ambiance tokyoïte assez classique.
Les références à la mythologie sont un plus.



Cabane pour chat

Un tréteau, un peu de tissu, une couverture moelleuse, un doudou et zou !


samedi 2 août 2014

Thé Sencha-chat-chat

A la recherche d'un thé vert "pour tous les jours", j'ai voulu tester le Sencha, alors voilà...
Première surprise pour moi qui n'y connais rien, il faut l'infuser une à deux minutes seulement et dans une eau pas trop chaude (80°c, voire descendre jusqu'à 50-60°c pour de meilleurs effets santé). Deuxième surprise, on obtient un jus très vert et transparent, pas désagréable. Troisième surprise, ça sent vraiment l'algue, de quoi prendre un petit coup de panique avant d'avoir goûté...
Mais non ! Tout se passe bien ! C'est vrai qu'il y a un fond de goût d'algue nori mais c'est léger et ça lui donne un charme. L'orage s'est invité alors j'ai dégusté mon sencha sous la pluie (enfin, elle elle est restée dehors), de quoi tomber amoureuse non ?
Par contre le mien ne doit pas être de si bonne qualité car la deuxième infusion (eau plus chaude et infusion plus courte) n'était pas terrible, ceci dit à 14€ les 100g on ne peut pas non plus s'attendre à un très grand cru.
J'aime vraiment beaucoup sa couleur huile d'olive qui me donne le sentiment de me faire du bien - et ce n'est pas qu'une impression car c'est le meilleur thé pour la santé -, sa saveur végétale et iodée, son goût légèrement sucré (je ne sucre pas mes boissons) et sa façon de glisser en bouche sans vous laisser la gorge sèche. J'ai même l'impression qu'il agit comme un coupe-faim, à confirmer.
A conserver dans une boite en écorce de cerisier (100€) pour les puristes - et ils ont bien raison -, ou dans une jolie boite à petits chats (8€) pour les fauchés ;3





















Le thé Sencha peut être consommé froid en été.
On choisi des aiguilles foncées et pointues pour une qualité optimale.
Si on baisse la température et le temps d'infusion, c'est la douceur et une pointe de sucre qui seront mises en avant ; à vous de jouer avec ces deux paramètres pour obtenir exactement ce dont vous avez envie.
Vous pouvez agiter le sachet ou la cuillère à thé 45 secondes avant la fin de l'infusion pour qu'il libère tous ses atouts santé.

Kanpai !